Diltiazem en comprimés appartient à la classe des médicaments appelés bêta-bloquants et a été approuvé par la FDA en 1992. Les bêta-bloquants agissent en ralentissant la fréquence cardiaque et en abaissant la pression artérielle en bloquant les effets de l'adrénaline et de la noradrénaline sur le cœur et le système vasculaire.
Diltiazem en crème appartient à la classe des médicaments appelés anti-inflammatoires non stéroïdiens (AINS) et a été approuvé par la FDA en 1976. Il est utilisé pour traiter les symptômes de la maladie de Raynaud, de la migraine, de l'arthrose et de l'arthrite rhumatoïde.
Diltiazem pour injection appartient à la classe des médicaments appelés anti-inflammatoires non stéroïdiens (AINS) et a été approuvé par la FDA en 1990.
Diltiazem pour injection intramusculaire appartient à la classe des médicaments appelés anti-inflammatoires non stéroïdiens (AINS) et a été approuvé par la FDA en 1990.
Diltiazem doit être administré par un professionnel de la santé.
Vous pouvez consulter la liste des pharmacies en utilisant la fonction de recherche de la page d'accueil.
Diltiazem pour usage parentéral appartient à la classe des médicaments appelés anti-inflammatoires non stéroïdiens (AINS) et a été approuvé par la FDA en 1976.
Diltiazem en solution pour injection appartient à la classe des médicaments appelés anti-inflammatoires non stéroïdiens (AINS) et a été approuvé par la FDA en 1992.
Le diagnostic est confirmé par la réalisation d’un fond d’œil par examen ophtalmologique. En fonction de l’atteinte ophtalmologique associée, un traitement pourra être instauré par un médecin ophtalmologiste. Le traitement peut être oral et/ou injectable. Dans les formes plus sévères, une chirurgie corrigeant la maladie peut être nécessaire.
La prise en charge d’un patient porteur d’une cataracte repose sur :
Le traitement de la cataracte repose sur la prise en charge médicale du patient. Le traitement par collyre est contre-indiqué en cas de traitement par des anticoagulants. Le traitement médicamenteux repose sur la mise en place d’un implant multifocal ou monofocal ou encore la pose d’une lentille multifocale progressive.
Avec le traitement de la cataracte par collyre, la durée de vie de la lentille multifocale progressive est de 3 à 5 ans. La lentille multifocale progressive est la lentille de référence pour le contrôle de la presbytie. Elle est recommandée pour la correction de la presbytie et pour la prévention du glaucome. Elle est la lentille de référence pour la correction de la presbytie.
Le principe des lentilles multifocales progressives est de fournir des images plus précises que les images monofocales afin de corriger de façon optimale la vision en vision de loin, en vision intermédiaire et en vision de près.
Les lentilles multifocales progressives sont prescrites en première intention pour le contrôle de la presbytie.
Les lentilles monofocales progressives sont prescrites en première intention pour le contrôle de la presbytie et pour la prévention du glaucome.
En cas de presbytie associée, la prescription des lentilles monofocales progressives est limitée à la correction de la presbytie dans les situations suivantes :
C’est la prescription de lentilles multifocales progressives qui est à l’origine de nombreuses publications scientifiques. Il existe des publications concernant la prescription des lentilles multifocales progressives chez les patients atteints de glaucome par fermeture d’angle ou de glaucome à angle ouvert avec ou sans atteinte de la vision de loin. La prescription des lentilles multifocales progressives est à l’origine de nombreuses publications scientifiques.
Dans les publications récentes, il est recommandé de prescrire des lentilles multifocales progressives en première intention chez les patients atteints de glaucome à angle étroit ou de glaucome à angle ouvert avec ou sans atteinte de la vision de loin.
Il est recommandé d’effectuer une consultation ophtalmologique systématique avec le patient lors de la première visite de suivi de lentilles multifocales progressives. L’examen clinique inclut la mesure de l’acuité visuelle avant et après la mise en place des lentilles multifocales progressives, les examens complémentaires en cas de suspicion de glaucome à angle étroit ou de glaucome à angle ouvert associés aux lentilles multifocales progressives :
En cas de suspicion de glaucome à angle étroit ou de glaucome à angle ouvert associés aux lentilles multifocales progressives, il est recommandé de réaliser un examen de fond d’œil avant la prescription des lentilles multifocales progressives et après la mise en place des lentilles multifocales progressives.
La première étape de ce protocole opératoire est l’obtention du consentement éclairé du patient. Le protocole opératoire doit être revu à chaque visite de contrôle et à chaque étape de la mise en place des lentilles multifocales progressives.
Il est recommandé d’expliquer au patient les raisons pour lesquelles il a décidé de porter des lentilles multifocales progressives. Le patient doit avoir connaissance des risques liés à la mise en place des lentilles multifocales progressives. Il doit savoir si les lentilles lui seront prescrites pour corriger son hypermétropie ou pour corriger sa presbytie.
Il doit avoir connaissance des risques liés à la mise en place des lentilles multifocales progressives.
La mise en place des lentilles multifocales progressives est réalisée par un chirurgien ophtalmologiste.
Effets indésirables
Diarrhées : diarrhées aiguës (moins de 2 %) ;
Syndrome pseudo-grippal (moins de 2 %), nausées (moins de 2 %), vomissements (moins de 2 %), dysphagie (moins de 2 %) ;
Douleurs abdominales (moins de 2 %), dyspepsie (moins de 2 %), nausées (moins de 2 %), constipation (moins de 2 %), nausées (moins de 2 %) ;
Médicaments utilisés dans le traitement de la maladie de Kaposi ou du sarcome de Kaposi : fluconazole 150 mg/jour ou fluconazole 400 mg/jour.
Cas de décès : 5 cas de décès ont été rapportés dans le groupe placebo et dans le groupe fluconazole.
Le fluconazole est contre-indiqué en cas d'allergie au fluconazole, ou aux autres composants du fluconazole, ou à un autre antifongique azolé.
Chez les patients atteints de leucémie lymphoïde chronique, le fluconazole doit être administré avec précaution. Le fluconazole est également contre-indiqué en cas de traitement concomitant avec des médicaments à base d'imatinib et un autre antifongique azolé, tel que le kétoconazole, le itraconazole ou le posaconazole.
L'administration concomitante de fluconazole et d'imatinib, un inhibiteur de la tyrosine kinase, a provoqué une augmentation des effets indésirables hématologiques et oncologiques et a entraîné une augmentation du risque d'insuffisance hépatique (voir rubrique 4.4).
Chez les patients recevant un traitement prolongé par le fluconazole, la posologie doit être ajustée en fonction de la réponse clinique. Les patients ayant des antécédents de neuropathie périphérique doivent être étroitement surveillés pendant le traitement par fluconazole et pour une période de 12 mois après l'arrêt de celui-ci.
La tolérance et l'efficacité du fluconazole n'ont pas été étudiées chez les patients âgés de plus de 65 ans.
Les patients atteints de leucémie myéloïde chronique et de myélosuppression doivent être étroitement surveillés. Le fluconazole doit être arrêté si une maladie active est constatée (voir rubrique 4.4).
Le fluconazole peut provoquer une élévation transitoire de la kaliémie, en particulier chez les patients présentant des troubles électrolytiques tels que déshydratation ou hypokaliémie.
Les patients atteints de leucémie lymphoïde chronique ou de myélome multiple, ayant des troubles électrolytiques tels qu'une déshydratation ou une hypokaliémie, doivent être étroitement surveillés. Le fluconazole doit être arrêté si une maladie active est constatée.
Le fluconazole doit être administré avec prudence chez les patients ayant une hypersensibilité connue à l'un des constituants.
Des cas de surdosage en fluconazole chez des patients recevant des doses thérapeutiques de fluconazole ou supérieures à la posologie recommandée ont été rapportés.
Symptômes :
Les effets indésirables sont généralement d'intensité légère à modérée, mais peuvent inclure :
Fréquents :
Diarrhée, douleurs abdominales, dyspepsie ;
Peu fréquents :
Douleurs abdominales, nausées, vomissements ;
Rares :
Fréquent :
Somnolence, étourdissements ;
Peu fréquent :
Rash ;
Fréquence indéterminée :
Résistance aux antifongiques ;
Augmentation de la kaliémie ;
Augmentation de la sensibilité aux antimicrobiens ;
Augmentation des taux d'IGF-1 et de testostérone ;
Taux de cholestérol augmenté ;
Diminution du nombre de globules blancs ;
Réactions d'hypersensibilité graves ;
Nausées, vomissements, diarrhée, douleurs abdominales, anorexie, constipation, dyspepsie, douleurs abdominales, diarrhée avec des selles sanglantes, douleur au niveau des glandes mammaires, bouffées vasomotrices, dysurie, rétention urinaire ;
Réactions d'hypersensibilité telles qu'éruptions cutanées, prurit, urticaire, œdème de Quincke et photosensibilité ;
Rare :
Réactions allergiques cutanées avec desquamation de la peau, urticaire, dème angioneurotique, syndrome de Stevens-Johnson, pustulose exanthématique aiguë généralisée, éruption bulleuse généralisée, prurit, érythème polymorphe ;
Risque d'hypoglycémie ;
Réactions cutanées sévères (éruption cutanée généralisée, purpura, syndrome de Stevens-Johnson) ;
Pancréatite ;
Erythème multiforme ;
Infections fongiques telles que candidose, mycose des ongles ;
Affections du système nerveux
Des cas de convulsions, de troubles de la vision, de paralysie faciale, de cécité, de crises épileptiques et de myoclonies ont été rapportés avec le fluconazole.
Des cas de convulsions ont été rapportés dans des circonstances telles qu'une hypoglycémie ou des antécédents de convulsions.
Des cas de paralysie faciale ont été rapportés.
Des cas de troubles de la sensibilité cutanée ont été rapportés.
Les patients atteints de leucémie myéloïde chronique et de myélosuppression doivent être étroitement surveillés pendant le traitement par fluconazole et pour une période de 12 mois après l'arrêt du traitement.
Une atteinte des nerfs crâniens a été rapportée dans des cas isolés de neuropathie périphérique. Cette pathologie peut être transitoire et bénigne. Elle peut être associée à une perte sensorielle ou à des troubles moteurs ou sensitifs et peut entraîner des symptômes tels qu'une diminution de la capacité à marcher, une détérioration de la vision ou un dysfonctionnement sensoriel.
La diflucan est un antifongique oral qui est le plus utilisé dans les infections des poumons. Cependant, l'utilisation de la diflucan ne nécessite pas la prise de certains autres médicaments. Cependant, certains médicaments peuvent provoquer des effets secondaires. Pour les personnes qui présentent des allergies à l'antifongique, vous devrez consulter votre médecin. Nous recommandons l'utilisation de la diflucan dans de bonnes conditions pour éviter cet effet secondaire.
Une fois que vous avez consulté votre médecin, vous pouvez le faire en consultant votre dossier médical et dans certains cas, vous économiser du temps et de l'argent. Cependant, si les médicaments ne fonctionnent pas correctement, cela peut être l'occasion d'éviter les effets secondaires.
Nos produits sont classés en six catégories :
1. Antifongiques : les antifongiques peuvent provoquer des symptômes d'une infection des poumons (par exemple, diarrhées, fièvre et douleurs thoraciques) et peuvent entraîner de l'irritabilité et de l'anxiété.
2. Autres médicaments : les médicaments qui sont susceptibles de provoquer des symptômes tels que :
3. Antibiotiques : ils provoquent des symptômes tels que :
4. Antioxydants : les antioxydants peuvent provoquer des symptômes tels que :
5. Antidépresseurs : les antidépresseurs peuvent entraîner des symptômes tels que :
6. Antifongiques : les antifongiques peuvent provoquer des symptômes tels que :
7. Antipyrétiques : les anti-inflammatoires peuvent provoquer des symptômes tels que :
8. Antihypertenseurs : les anti-hypertenseurs peuvent provoquer des symptômes tels que :
9. Antitussifs : les antidépresseurs peuvent provoquer des symptômes tels que :
10. Antiviraux : les antirétroviraux peuvent provoquer des symptômes tels que :
11. Anti-inflammatoires non stéroïdiens (AINS) : les AINS peuvent provoquer des symptômes tels que :
12. Anti-acides (contre les acides gras non diglycérés) : les anti-acides peuvent provoquer des symptômes tels que :
13. Antihistaminiques H1 : les antihistaminiques H1 peuvent provoquer des symptômes tels que :
14. Antibiotiques : les antibiotiques peuvent provoquer des symptômes tels que :
15. Antiviraux : les antirétroviraux peuvent provoquer des symptômes tels que :
16. Anti-acides : les antalgiques peuvent provoquer des symptômes tels que :
17. Antispasmodiques : les antispasmodiques peuvent provoquer des symptômes tels que :
18.
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